Tour de France 2025 : Top 10 des montées et ascensions
- Quentin Durand
- 2 juil.
- 3 min de lecture
L’édition 2025 met à l’honneur des géants de la montagne et fait la part belle au retour de cols historiques, convoqués pour créer du spectacle et des séquences de légende.


Mur de Bretagne – Étape 7 (Saint‑Malo → Mûr‑de‑Bretagne, le 11 juillet, 197 km)
Un final musclé sur une arrivée en côte : deux passages sur le célèbre “Mur” – 2 km à 6,9 %, dont un premier kilomètre à près de 10 %, déjà éprouvant pour les puncheurs. L’ambiance sera électrique, propice aux offensives dans les derniers hectomètres.

Mont-Dore (Puy de Sancy) – Étape 10 (Ennezat → Le Mont-Dore, le 14 juillet, 165 km)
Premier sommet de l'édition, dans le Massif Central : ascension finale de 3,6 km à 7,5 %, après 165 km et 4 350 m de D+ . Une première véritable épreuve pour les favoris, avec une arrivée en altitude qui pourrait créer des écarts. Des bouts de droit assez interminable pour une arrivée explosive.

Hautacam – Étape 12 (Auch → Hautacam, le 17 juillet, 180 km)
Arrivée typée “Hors Catégorie” dans les Pyrénées : montée de 13,6 km à 7,8 %, après 180 km et 3 850 m de D+. Un sommet classique, souvent théâtre de mouvements décisifs chez les grimpeurs. Cette ascension est souvent rendu difficile par l'irrégularité dont elle fait preuve. Certains passages avoisinent les 15%. Même si les deux derniers kilomètres restent correct, il faudra néanmoins faire face aux passages en noir sur le profil ! Vous retrouverez notre article sur ce col >>>ici <<<

Peyragudes (chrono‑escalade) – Étape 13 (Loudenvielle → Peyragudes, le 18 juillet)
Contre-la-montre individuel en montée : 10,9 km pour 650 m de D+, un parcours accidenté avec plusieurs relances importantes. Un vrai test en solitaire pour ceux qui visent le classement général. Très régulier jusqu'au virage de la Sapinière, l'arrivée est vraiment plus difficile à l'abord de la station.

Tourmalet – Étape 14 (Pau → Superbagnères, le 19 juillet, 182 km)
La “Reine des Pyrénées” revient avec un cocktail explosif ; Tourmalet (19 km à 7,4 %), Aspin (5 km à 7,6 %), Peyresourde (7,1 km à 7,8 %). Mais c'est bien le Tourmalet qui sera le "grand" des Pyrénées une nouvelle fois. Passant par son versant le plus beau (Barrèges), c'est une magnifique ascension qui attend les coureurs qui le connaissent par cœur. Pour découvrir ce col en détails, c'est par >>>ici<<<

Superbagnères (18 km à 7 %)
Quasi 5 000 m de grimpe cumulée, un véritable “festival des cols” dans l’esprit des grandes étapes des années 80. Après le Tourmalet, le peloton se frottera à la station de ski de Bagnères de Luchon. 18km sur une montée très irrégulière et peu abritée.. Ça promet ! Un de nos cols préférés ! A découvrir ici.

Mont Ventoux – Étape 16 (Montpellier → Mont Ventoux, le 22 juillet, 171 km)
Le Géant de Provence est de retour avec son profil long de 20,8 km à 7,7 %, après une transition depuis la plaine. Le Tour de France l'abordera par Bédoin, le versant le plus difficile avec près de 10km à 10% dans la forêt. Une ascension mythique. A découvrir ici.

Col de la Loze – Étape 18 (Vif → Col de la Loze via Courchevel, le 24 juillet, 171,5 km)
La plus haute ascension de ce Tour : 2 304 m, montée par le versant est jusqu’aux pistes de Courchevel : une rampe promise à la légende ? Cette année, cela ne sera pas par les toboggans du versant Est mais tout sera aussi difficile. Le géant à découvrir ici.

Cormet de Roselend (via Col de Pré) – Étape 19 (Albertville → La Plagne, le 25 juillet, 129,9 km)
Double montée en deux temps, d’abord le Col de Pré, puis le Cormet de Roselend, avant l’arrivée à La Plagne . Une montée exceptionnelle finissant doucement mais avec un panoramique incroyable.

La Plagne – Étape 19 (arrivée)
Station montagnarde où s’achève l’étape après un dénivelé cumulé de plus de 4 700 m. Montée exigeante et décor grandiose pour finalistes affûtés.
コメント